Coooopa, Copacabaaaaaaana!

Cette Copa Cabana-là ne se trouve pas sur la côte atlantique du Brésil, mais bien au bord du Lac Titicaca à 3500m d’altitude en Bolivie.
Station balnéaire aux allures baba cool, cette petite ville «porte d’entrée» de la frontière péruvienne nous fait plonger tout de suite en pleine ambiance vacances (comme si on n’y était pas déjà…).
Ici, les gens n'ont pas un regard noir (cela fait du bien après les grandes villes péruviennes), ils nous sourient volontiers et sont bien agréables, diiiingue!
Du coup, on se laisse aller, on éteint le mode « prise de karaté à celui qui s’approche trop près de nos sacs à dos », on sort les sardines pour planter la tente dans le jardin d’un hôtel sympa sur les hauteurs de la ville et on met les doigts de pieds à sécher!!! Top!


On profite aussi de la ville, de sa superbe église, de son petit port et de ses restos où on a quand même mangé un super cheesecake... mais on n'ose plus vous mettre des photos de bouffe!!!


Et puis il y a aussi l'Isla Del Sol... Magnifique petite île où nous avons même campé sur la plage avec comme panorama le lac Titicaca et la cordillère des Andes, un peu nuageuse mais quand même impressionnante avec ses sommets enneigés!

Même si on commence à sentir l'impact du tourisme (billets à payer pour visiter chaque partie de l'Ile, pour seulement y marcher! Il faut aussi débourser pour le moindre pipi...), l'île est encore authentique. D'ailleurs, il n'y a qu'à regarder les activités qui se déploient sur les plages, ça se passe de commentaires!


Tout défile sous nos yeux:
Les petits pueblos avec gargottes, les plages magnifiques où Romain s'est baigné (Si si, regardez bien le petit point dans l'eau, c'est lui!!! Mais siiiiii, le joli crâne rasé là!!! ), les collines verdoyantes avec terrasses, les ports typiques ...


Et puis, il y a aussi Pédro l'âne!!... Il est notre ami!! Bien curieux, un peu collant, mais tellement sympa...


La population locale est très courageuse et travailleuse. C'est impressionnant les tas de bois ou d'herbe que les campesinos ou campesinas peuvent transporter alors que nous sommes à bout de souffle avec l'altitude au moindre petit dénivelé... Et encore là, ça n'est qu'un petit exemple...